29 juillet 2009

Connaissez-vous le gyotaku d' Arisa et Jean Jacques Bacci ?

Arisa et Jean Jacques Bacci sont des inconditionnels de la pêche sous marine. La corse, un masque, un tuba, du riz et de la sauce soja, suffisent à leur bonheur ou presque ... le gyotaku
Poulpe

Murène


(de gyo : poisson et taku : empreinte) cet art japonais original date de la période Edo. Il consiste à reproduire l'image d'un poisson par empreinte sur papier de riz ou sur soie. Utilisée par des pêcheurs pour immortaliser des prises inoubliables, cette technique a été développée sur le plan artistique par des naturalistes japonais et américains au XXe siècle. La méthode plus ancienne pour réaliser un gyotaku consiste, après avoir nettoyé le poisson et lui avoir ôté les yeux, à appliquer de l'encre dans le sens des écailles, puis à prendre son empreinte avec une feuille de papier de riz. Sur le papier retiré, l'artiste peut ensuite peindre l'œil au pinceau et achever son œuvre en calligraphiant un poème.



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Jean Jacques et Arisa Bacci produisent et importent les merveilleux sakés : Kawasemi, Sayori et Koï Koï.
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4 commentaires:

Anne-Julie a dit…

J'aime beaucoup!!! Je connais (pas personnellement) un peintre breton qui fait des dessins à la japonnaise... il expose à Concarneau... et chez Rech à Paris... malheureusement le nom m'échappe!

paulolambert a dit…

Pourquoi ôter les yeux ? Merci de l'éclairage ...

Bruno Verjus a dit…

Il s'agit d'une simple application du poisson fraîchement pêché et prélablement enduit d'encre de chine, sur papiers ou tissus.
Rien n'est ôté, ni les yeux, ni les viscère. C'est une empreinte, avec les qualités et les ommissions de l'instantané.
BV

Anonyme a dit…

jolies empreintes tres spotannés

jo

http://jo-gyotaku.skyrock.com/1.html