N'en déplaise à certains, le consommateur lambda a le droit d'expression démocratique. Le bouche à oreille a toujours existé et a parfois fait changé le cours des choses.Peut être ce qui dérange aujourd'hui, c'est que le consommateur lambda est passé à l'écrit et à la photo en ne se gênant plus pour encenser ou récrier selon ses propres critères personnels , subjectifs et issus d'un "one shot". Il fait office d'apparatchik aux yeux des guides "officiels" et d'élément perturbateur avec sa liberté de jugement. J'aime bien cette idée (citoyenne ) de pavé dans la mare ou de "tintamarre culinaire".... signée une simple blogueuse-cuisinière qui ose décrypter ses repas au restaurant.
Allez Bruno, avoue: combien l'as tu payée cette Elodie Lepage, qui ne cite que toi et ton éternel pote, référence de l'antiblog, Sébastien D. Elle reprend exactement l'argumentation de mon post "Conversation avec Claude Lebey sur le « danger » des blogs" Mais, il est vrai que sur Saturne, comme sur Philou, comme sur Playtime, comme sur Kaori rue de Paradis, tu as été le premier à lancer le buzz. Bref, ton Elodie, qui fait court et brouillon, nous démontre, une fois de plus, qu'on est meilleur, plus réactif, sur le net que sur papier. Dont acte.
@ Lilibox : bien sûr, après le seul problème du web c'est que tout n'existe qu'en fonction de la fréquentation et non pas de la pertinence. Ce qui implique de se cultiver mieux pour faire les bons choix. Il y a aussi de la vertu dans le Web 2.0
5 commentaires:
Ah, c'est dans le dernier nouvel Obs. J'irai l'acheter. Toujours amusant de lire sur notre communauté virtuelle d'amateurs de cuisine
N'en déplaise à certains, le consommateur lambda a le droit d'expression démocratique. Le bouche à oreille a toujours existé et a parfois fait changé le cours des choses.Peut être ce qui dérange aujourd'hui, c'est que le consommateur lambda est passé à l'écrit et à la photo en ne se gênant plus pour encenser ou récrier selon ses propres critères personnels , subjectifs et issus d'un "one shot".
Il fait office d'apparatchik aux yeux des guides "officiels" et d'élément perturbateur avec sa liberté de jugement.
J'aime bien cette idée (citoyenne ) de pavé dans la mare ou de "tintamarre culinaire"....
signée une simple blogueuse-cuisinière qui ose décrypter ses repas au restaurant.
Allez Bruno, avoue: combien l'as tu payée cette Elodie Lepage, qui ne cite que toi et ton éternel pote, référence de l'antiblog, Sébastien D. Elle reprend exactement l'argumentation de mon post "Conversation avec Claude Lebey sur le « danger » des blogs"
Mais, il est vrai que sur Saturne, comme sur Philou, comme sur Playtime, comme sur Kaori rue de Paradis, tu as été le premier à lancer le buzz. Bref, ton Elodie, qui fait court et brouillon, nous démontre, une fois de plus, qu'on est meilleur, plus réactif, sur le net que sur papier. Dont acte.
@ Lilibox : bien sûr, après le seul problème du web c'est que tout n'existe qu'en fonction de la fréquentation et non pas de la pertinence. Ce qui implique de se cultiver mieux pour faire les bons choix.
Il y a aussi de la vertu dans le Web 2.0
@ Gilles
Oui plutôt que de se figer dans des postures, la presse gastro devrait simplement se renouveler, en idées et en hommes ...Tu le dis aussi ;-)
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